Le DTM, tout spectaculaire soit-il, ne doit son existence que par la bonne volonté de ses froids bienfaîteurs, les constructeurs. L'altruisme n'étant pas un canon de leur existence, ce qui, dans un contexte de concurrence féroce, est tout à fait compréhensible, la discipline sportive qui en émane doit justifier de son intêret marketing au risque de se voir simplement biffer au nom d'une présentation indécente d'une triste feuille comptable. OPEL a déjà jeté l'éponge, AUDI a tout juste été retenu par la manche, et MERCEDES doit constituer ses équipes avec des noms porteurs...
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Le DTM, tout spectaculaire soit-il, ne doit son existence que par la bonne volonté de ses froids bienfaîteurs, les constructeurs. L'altruisme n'étant pas un canon de leur existence, ce qui, dans un contexte de concurrence féroce, est tout à fait compréhensible, la discipline sportive qui en émane doit justifier de son intêret marketing au risque de se voir simplement biffer au nom d'une présentation indécente d'une triste feuille comptable. OPEL a déjà jeté l'éponge, AUDI a tout juste été retenu par la manche, et MERCEDES doit constituer ses équipes avec des noms porteurs...
Rien n'est moins simple. L'étoile pensait avoir réussi son coup en acceptant que le tenant du titre PAFETT, "monte" en F.1 tandis qu'un pilote de cette même F.1 arriverait dans la C.Klasse. Las ! WURZ a refusé le strapontin pour s'en aller voir ailleurs. Reste que la firme BENZ ne peut se contenter d'ALESI, de SCHNEIDER et de HAKKINEN, au risque de se faire redire sur la moyenne d'âge.. Pas bon pour l'image.
Alors qui pour remplacer Gary ? Un jeune avec un nom. Tout porte à croire que du brainstorm sortira le nom de Matthias LAUDA. Soit le fils de Niki, celui qui, pour le moins, n'a franchement guère impressionné les foules pour l'instant, sa dernière saison de GP.2 présentant un bilan carrément calamiteux. Mais bon, c'est vendeur. Quant à Mattias EKSTRÖM, il peut être serein.
Le DTM, tout spectaculaire soit-il, ne doit son existence que par la bonne volonté de ses froids bienfaîteurs, les constructeurs. L'altruisme n'étant pas un canon de leur existence, ce qui, dans un contexte de concurrence féroce, est tout à fait compréhensible, la discipline sportive qui en émane doit justifier de son intêret marketing au risque de se voir simplement biffer au nom d'une présentation indécente d'une triste feuille comptable. OPEL a déjà jeté l'éponge, AUDI a tout juste été retenu par la manche, et MERCEDES doit constituer ses équipes avec des noms porteurs...